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Un dimanche (10) à Pau
gelée blanche, l'herbe crisse sous les pas,un friselis de branches, le magnolia,lumière d'un matin d'hiver
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"Quand nous parcourons les lieux de la mémoire..."
Pour Primo Levi Mario Rigoni Stern traduction François MasperoBobbio, dans De Senectute, écrit: "Quand nous parcourons les lieux de la mémoire, les morts se pressent autour de nous, et leurs rangs se...
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"... en la verde orilla de Guadalquivir"
Séville : d'autres "cartes postales" Luis de GóngoraEn la verde orillaLos rayos le cuenta al SolCon un peine de marfilLa bella Jacinta un díaQue por mi dicha la viEn la verde orillaDe Guadalquivir.La...
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au boheur des dames
Au bonheur des dames Emile Zola...C'était, à l'encoignure de la rue de la Michodière et de la rue Neuve-Saint-Augustin,...
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entrer dans la nuit
parking, embrasser du regard le bâtiment éclairé, un vieux, une lumière, fenêtre du bout, sa silhouette de profil, la télé sans doute, appels de phare, à côté, un rideau soulevé, des signes de la main,...
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château et dépendances (11)
avant les pelleteuses, délicate et inexorable, une lente possession des lieux
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château et dépendances (12)
giclées de lumière, vieux oripeaux arrachés, l'envol de l'hiver
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château et dépendances (13) : écuries
les manants les contemplaient et courbaient l'échine, à eux la campagne alentour au galop de fières montures, et sans plus lever les yeux, sou après sou, la pioche à la main, ils avaient conquis...
View ArticleOn en était enfin à ce « milieu d'après-midi » où Susan lui avait dit de...
Cauchemar en grisFantômes et farfouilles, Fredric BROWN, traduit par Jean Sendy éditions Denoël, 1963. Il se réveilla avec une merveilleuse sensation de bien-être savourant l'éclat et la douce chaleur...
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mère et fils
ils lui mangeaient la laine sur le dos elle se laissait faire avec placidité leur sentiment de puissance ne connaissait pas de limiteset voir, écouter Anne-Marie Garat -passionnant !- parler de Mère...
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fenêtres (7)
le soleil continuait sa course,se tenir là,un désordre de mots, et ils s'éteignaient,un désastre clair,le taire brûlait,s'éloigner
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attaches (2)
ce qui nous liait encore se tenait sous nos yeuxon portait un monde, personne pour ouvrir,les chaînes de grincer, les portes de claquer,et les mots se mouraient
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